Le contenu de cette page a été écrit et publié sous la direction de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) qui a rejoint l'Institut des hautes études du ministère de l'Intérieur (IHEMI) le 1er janvier 2021. Il était important pour la direction de l'IHEMI de conserver l'ensemble du contenu de l'INHESJ, qui constitue désormais la mémoire de l'institut.
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Ces dernières années ont été marquées par une succession d'agressions, pour certaines sauvages et meurtrières, envers des représentants des forces de l'ordre, victimes de violences croissantes si nous en jugeons par les chiffres publiés par l'ONDRP et le rapport de mission de l'INHESJ, en mars 2017, relatif au régime légal de l'usage des armes par les forces de sécurité intérieure.
Inversement, plusieurs affaires ont mis en lumière, notamment à l'occasion d'opérations de maintien de l'ordre, des actes et des comportements inadmissibles de la part de personnes dépositaires de l'autorité publique. Ainsi, entre agressions subies par des policiers et des gendarmes et violences commises par des représentants des forces de l'ordre sur des citoyens, ces dernières années constituent une illustration topique des difficultés existant dans la construction d'une relation équilibrée et apaisée entre police et population.
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