Entre 2012 et 2018, l'enquête « Cadre de vie et sécurité » a permis d'interroger les personnes enquêtées sur leur déplacement à la police ou à la gendarmerie pour déclarer les atteintes dont elles ont été victimes. La majorité des victimes estiment que leur démarche s'est plutôt bien, voire très bien passée. Plus particulièrement, les victimes sont satisfaites des conditions de leur déplacement (attente, temps et écoute, confidentialité, conseils).
L'avis des victimes change peu selon qu'elles se sont rendues dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie. Toutefois, celles qui se sont déplacées à la police sont relativement moins satisfaites du délai d'attente.
Dans le cas des atteintes sensibles, les victimes sont relativement moins satisfaites des conditions de leur démarche.